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13 March 2014

Ne pas porter atteinte à Élections Canada et La vraie raison Cons Vous voulez Museau Élections Canada 11 & 13MAR14

Élections nationales canadiennes auront lieu le ou avant 19OKT15 et le gouvernement harper conservateur n'est pas d'encourager les gens à voter, en fait, ils sont en fait manoeuvrent pour restreindre l'accès aux urnes au Canada tout en donnant aux gens les plus riches plus d'influence sur la Loi des élections justes (le projet de loi C-23) a la les repiglicans et thé profiteurs ont fait et font dans de nombreux Etats, ici aux USA Il semblerait l'objectif de la torie est de mener le Canada à devenir une ploutocratie (tout comme les repiglicans, thé ensacheuses et troisième voie démocrates font aux États-Unis), laissant les entreprises canadiennes libres d'acheter autant de politiciens qu'ils peuvent, contrôler l'ordre du jour politique et d'exploiter les gens et les ressources naturelles de la nation pour satisfaire leur soif insatiable cupidité et pour plus de richesse et de puissance. Je suis impressionné par le nombre d'universitaires qui ont signé cette lettre s'opposant projet de loi C-23. Ils ont besoin de continuer à appuyer sur la question à la population canadienne, et ne devraient pas craindre d'utiliser le dysfonctionnement politique non seulement à Washington, mais dans la plupart des Etats gop / teabagger contrôlées, et les conséquences des citoyens de la Cour suprême des Etats vs Le fédéral décision de la Commission électorale sur la politique américaine. Ils devraient également rappeler fréquemment les Canadiens aux États-Unis est toujours en récession et 99% souffrent encore de la stagnation économique et des salaires tandis que les inégalités économiques continue d'augmenter. Et le plus effrayant, c'est la façon dont les décisions et la planification du gouvernement Haper sont contrôlés par, si elle n'est pas dictée par des entreprises canadiennes, la banque et l'intérêt financier à Toronto, Montréal, Vancouver et Calgary en collaboration avec des partenaires américains. Les Canadiens ont besoin de lire Essai: Anatomie de l'État profond 21FEB14 http://bucknacktssordidtawdryblog.blogspot.com/2014/03/essay-anatomy-of-deep-state-21feb14.html
Les pères fondateurs et approuveraient ce remix et Lawrence Lessig: Nous les gens, et la République nous devons récupérer un TED PARLER février 2013 13MAR14 http://bucknacktssordidtawdryblog.blogspot.com/2014/03/the-founding-fathers-would- approuver-of.html
et lutter contre les tories pour défendre le Canada qu'ils aiment. Ces National Post et de Montréal Simon .....


| | Dernière mise à jour: 12 mars 19h07 HE
Pierre Poilievre, ministre d'État (Réforme démocratique), se tient à la Chambre des communes au cours de la période des questions, à Ottawa, le lundi 10 Février 2014.
LA PRESSE CANADIENNE / Fred Chartrand Pierre Poilievre, ministre d'État (Réforme démocratique), se tient à la Chambre des communes au cours de la période des questions, à Ottawa, le lundi 10 Février 2014.
Un groupe de professeurs explique pourquoi les changements proposés par le gouvernement à nos lois électorales sont une menace pour les traditions démocratiques du Canada

Nous, les soussignés - professeurs dans les universités canadiennes qui étudient les principes et les institutions de la démocratie constitutionnelle - croyons que la Loi des élections justes (projet de loi C-23), s'il est adopté, porterait atteinte à l'institution au cœur de la démocratie de notre pays: vote fédéral élections.

Andrew Coyne: Les conservateurs avaient raison d'être nerveux. Marc Mayrand déchiqueté leur "Loi des élections justes" presque ligne par ligne

Pas étonnant que les conservateurs étaient tellement nerveux.
Le gouvernement avait été sensiblement capricieux à ce que Marc Mayrand dire avant le comité des Communes procédure et des affaires de la Chambre jeudi: non seulement l'avait gardé le directeur général des élections en grande partie hors de la boucle dans les mois avant qu'il introduit son point de repère des élections justes agir, mais il n'y avait aucun doute s'il serait même autorisé à témoigner à ce sujet par la suite.
Une promesse à cet effet avait été déposée auprès du NPD David Christopherson la nuit avant de le persuader de mettre fin à son obstruction de la Loi en commission . Pourtant, le jour du témoignage de M. Mayrand a été interrompu par l'appel de non pas un mais deux votes à la Chambre des communes au moment où il devait prendre la parole. Continuer la lecture ...

Nous exhortons le gouvernement à tenir compte des appels pour une consultation plus large dans vetting projet de loi. Alors que nous sommes d'accord que notre système électoral a besoin de quelques réformes, ce projet de loi contient des propositions qui porterait gravement atteinte à l'équité et la transparence des élections fédérales et de diminuer la participation politique des Canadiens.
Au-delà de nos préoccupations spécifiques concernant les dispositions du projet (voir ci-dessous), nous sommes alarmés l'absence de procédure régulière dans la rédaction du projet de loi et en se précipitant à travers le Parlement. Nous ne voyons aucune justification pour introduire la législation d'une telle importance cruciale pour notre démocratie sans consultation importante auprès d'Élections Canada, les partis d'opposition, et le grand public.

identification des électeurs

Le projet de loi propose de renoncer à l'utilisation de cartes d'information de l'électeur (CIE) comme une pièce d'identité que les électeurs peuvent utiliser (en tandem avec un autre pièce d'identité reconnue officiellement) pour prouver leur identité et leur adresse. L'utilisation des cartes d'électeurs est particulièrement important pour les Canadiens qui n'ont pas ID qui prouve leur adresse actuelle, comme les étudiants, les personnes âgées dans les établissements de soins prolongés, les citoyens des Premières Nations, et ceux qui ont déménagé récemment. Bien que n'étant pas parfait, CIE sont plus susceptibles de fournir une adresse précise que la plupart des autres formes d'identification, y compris les permis de conduire. Nous croyons que l'élimination de la CIE en tant que pièce d'identité valide aux élections fédérales permettrait de réduire la probabilité de vote par certains citoyens.
Actuellement, Élections Canada protège le droit de vote des citoyens qui n'ont pas les formulaires standard d'identification en leur permettant de prêter serment affirmation de leur identité, de citoyenneté et de résidence dans la section de vote, et ayant qualité d'électeur de la même section de vote se porter garant de leur admissibilité. En 2011, environ 120 000 citoyens comptaient sur ​​la fourniture de répondant pour pouvoir voter. En éliminant répondants en, la Loi des élections justes serait priver bon nombre de ces citoyens.
Le gouvernement fait valoir que des répondants en présente une opportunité pour fraude électorale, citant le rapport de Neufeld sur l'examen de la conformité (qui a été menée en réponse à des événements survenus dans la circonscription d'Etobicoke-Centre lors de l'élection générale de 2011) à l'effet qu'une proportion importante de se porter garant des cas ont été en proie à des «irrégularités». En fait, le rapport Neufeld d'Élections Canada n'a pas cité un seul cas de fraude électorale ou non admissibles découlant du système de répondant. Au contraire, le rapport a recommandé de maintenir le système de répondants en place une protection pour le droit de vote des citoyens, tout en travaillant à réduire la nécessité de se porter garant par une meilleure utilisation des CIV même que le projet de loi C-23 disqualifier.

Assurer des élections équitables

Nous craignons que le projet de loi C-23 réduirait la capacité d'Élections Canada pour protéger l'équité du processus électoral. Le projet de loi propose de supprimer l'organe d'exécution de l'agence, dirigée par le commissaire aux élections, Élections Canada et le déplacer vers le bureau du directeur des poursuites pénales. Fondamentalement, les activités du Commissaire ne seraient plus présentés au Parlement.
Bizarrement, le projet de loi interdit à Élections Canada de promotion de la participation démocratique. Il serait même empêché de publier des rapports sur le processus électoral
Le projet de loi omet également de fournir au commissaire les pouvoirs nécessaires pour enquêter correctement infractions électorales. Par exemple, le commissaire n'a pas le pouvoir de contraindre les témoignages, une pierre d'achoppement lors de l'enquête sur les appels automatisés. Pas plus que le commissaire a le pouvoir d'exiger des partis politiques de fournir des reçus et autres documents sur leurs dépenses, ce qui rend impossible de garantir le respect des limites de dépenses. L'article 18 interdirait Élections Canada de communiquer avec les citoyens sur des questions telles que la crise des appels automatisés, réduisant ainsi la transparence et la responsabilité démocratique.
Bizarrement, le projet de loi interdit à Élections Canada de promotion de la participation démocratique et le vote par des campagnes «sortir le vote». Élections Canada pourrait même être empêché de publier ses rapports de recherche sur le processus électoral. Ce gag sur Élections Canada à faire du Canada un cas particulier parmi les démocraties libérales, la place de leader mondial qu'il est aujourd'hui.

Le financement des campagnes

Le projet de loi C-23 apporterait plusieurs modifications à la campagne finances et rapports de dépenses après les élections. Pris séparément, ces changements peuvent sembler mineur, mais ensemble, ils augmentent l'influence de l'argent dans la politique canadienne.
Le projet de loi d'augmenter le montant que les citoyens peuvent faire un don à une campagne donnée de 1200 $ par année civile pour 1500 $ par année civile; plus troublant, c'est la augmentation proposée dans le montant d'argent qu'un individu peut contribuer à sa propre campagne de 1200 $ à 5000 $, la création d'un parti pris en faveur de ceux qui ont plus de richesse personnelle.
Tim Fraser / National Post
Tim Fraser / National Post
Pire encore, le projet de loi distingue la collecte de fonds de la campagne, puis exempte de frais de collecte de limites de dépenses de campagne aussi longtemps que la collecte de fonds est destiné aux anciens donneurs de plus de 20 $. Cela introduit deux biais dans les règles de financement des campagnes électorales. Tout d'abord, il défavorise les partis dont les bailleurs de fonds peuvent contribuer que de petites quantités. Deuxièmement, il favorise les parties qui ont construit leurs listes de donateurs sur ceux qui ne l'ont pas. Parties avec des listes plus longues des bailleurs de fonds sur le seuil pouvaient communiquer, sans frais pour leurs campagnes, avec un plus grand nombre d'électeurs que les autres parties.
Permettre l'argent pour influencer les résultats électoraux est contredite dures avec les principes de l'égalité politique et l'équité démocratique. Contrairement à nos voisins du sud, le Canada a toujours reconnu que permettre argent dans l'arène politique empêche ceux qui n'ont pas le soutien financier de se faire entendre et décourage la participation quand les citoyens perçoivent que le champ de la politique de jeu bascule vers la richesse. Cette caractéristique de la démocratie canadienne mérite une protection forte, pas l'érosion de la sorte mis en place par le projet de loi C-23.

Partisans des bureaux de vote

L'article 44 du projet de loi C-23, Élections Canada de nommer des superviseurs de centre de scrutin de listes de noms fournies par le candidat ou parti qui est arrivé premier à la dernière élection, favorisant les opérateurs historiques et leurs parties. Actuellement, les superviseurs du scrutin sont nommés par Élections Canada. Leur rôle est de superviser l'élection dans chaque bureau de vote. Irrégularités électorales sont souvent le résultat de calculs partisans par les personnes travaillant dans les bureaux de vote. C'est pourquoi le rapport Neufeld suggère que «la nomination des agents électoraux sur une autre base que le mérite est incompatible avec le principe de neutralité administrative, et contraire aux valeurs canadiennes prédominantes [et] les pratiques électorales internationales établies."
Les représentants du gouvernement ont réagi en soulignant que la Loi électorale permet déjà aux candidats et aux partis de nommer d'autres agents des bureaux de vote, mais cela ne constitue pas un motif d'expansion, plutôt que d'éliminer, une pratique qui sape la confiance des électeurs dans le processus électoral.

Élections Canada relève du Parlement et non du gouvernement du jour. Ceci est important parce que les règles régissant les élections ont une importance particulière dans une démocratie. La légitimité de l'ensemble du système politique dépend de l'administration équitable et impartiale des procédures électorales. Il est essentiel que les règles de la démocratie seront débattus d'une manière ouverte et transparente, à l'abri des calculs partisans.
la confiance des citoyens canadiens dans le processus démocratique repose largement sur ​​Élections Canada comme l'institution qui assure l'administration et l'application de notre électoral équitable et impartial lois. Un examen complet de ses conseils et de l'expérience est essentielle à la légitimité de tout changement important à ces lois. Surtout compte tenu du climat politique sensible dans laquelle les allégations de fraude électorale restent en suspens, à la fois la prudence et de la demande de fair-play que les modifications proposées par le projet de loi pour les lois de notre démocratie reçoivent débat parlementaire et public complet. Signé par : Monique Deveaux, professeur de philosophie , Université de Guelph Melissa Williams, professeur de science politique, Université de Toronto Maxwell Cameron, professeur de science politique, Université de la Colombie-Britannique Yasmin Dawood, professeur adjoint de droit, Université de Toronto Patti Tamara Lenard, Professeure adjointe, École supérieure d'affaires publiques et affaires internationales, Université d'Ottawa Geneviève Fuji Johnson, professeur agrégé de science politique, Université Simon Fraser Arash Abizadeh, professeur agrégé de sciences politiques, Université McGill Yasmeen Abu-Laban, professeur de science politique, Université de l'Alberta Cameron Anderson, professeur agrégé de politique Science, University of Western Ontario Christopher G. Anderson, professeur adjoint de science politique, Université Wilfrid Laurier Lesley Andres, professeur de l'éducation, Université de la Colombie-Britannique Caroline Andrew, professeur, Centre d'études en gouvernance, Université d'Ottawa, et ancien président, la politique canadienne Association Science Barbara Arneil, professeur de sciences politiques, Université de la Colombie-Britannique Yildiz Atasoy, professeur de sociologie, Université Simon Fraser Chloë GK Atkins, professeur agrégé de la Communication et de la Culture, de l'Université de Calgary Michael Atkinson, professeur, Johnson-Shoyama Graduate School of Public Politique, Université de la Saskatchewan, et président sortant de l'Association canadienne de science politique Gerald Baier, professeur agrégé de sciences politiques, Université de la Colombie-Britannique Ryan Balot, professeur de sciences politiques et Classics, Université de Toronto Keith Banting, professeur d'études politiques, Université Queen , et ancien président, Association canadienne de science politique Sylvia Bashevkin, professeur de science politique, Université de Toronto, et président sortant de l'Association canadienne de science politique Ronald Beiner, professeur de science politique, Université de Toronto Davina Bhandar, professeur agrégé d'études canadiennes, Trent Université Laurence Bheher, professeur agrégé de science politique, Université de Montréal Antoine Bilodeau, professeur agrégé de science politique, Université Concordia André Blais, professeur de science politique, Université de Montréal, et président sortant de l'Association canadienne de science politique Charles Blattberg, professeur de politique Science, Université de Montréal Pierre Bosset, professeur de droit public, Université du Québec à Montréal Sophie Bourgault, professeur adjoint de sciences politiques, Université d'Ottawa Leah Bradshaw, professeur de science politique, Université Brock Penny Bryden, Professeur d'histoire, Université de Victoria Gillian Calder, professeur agrégé de droit, Université de Victoria David Cameron, professeur de science politique, Université de Toronto Joseph Carens, professeur de science politique, Université de Toronto Don Carmichael, professeur agrégé de science politique, Université de l'Alberta Paul R. Carr, professeur agrégé de sociologie et d'études interdisciplinaires, Université Lakehead R. Kenneth Carty, professeur émérite de sciences politiques et ancien président, Association canadienne de science politique Julián Castro-Rea, professeur agrégé de science politique, Université de l'Alberta Simone Chambers, professeur de science politique, Université de Toronto Mary Chapman, professeur agrégé d'anglais, Université de la Colombie-Britannique Ryoa Chung, professeur agrégé de philosophie, Université de Montréal Colin Coates, professeur d'études canadiennes, Université York Marjorie Griffin Cohen, professeur de sciences politiques, Université Simon Fraser John Courtney, professeur de sciences politiques, Université de la Saskatchewan, et Ancien président, Association canadienne de science politique Hugo Cyr, professeur de science politique et de droit, Université du Québec à Montréal Rita Dhamoon, professeur adjoint de science politique, Université de Victoria Alexandra Dobrowolsky, professeur de science politique, Université Saint Mary Stefan Dolgert, professeur adjoint de science politique, Université Brock Mathieu Doucet, professeur adjoint de philosophie, Université de Waterloo Janique Dubois, professeur adjoint de science politique, Université Brock Pascale Dufour, professeur de science politique, Université de Montréal Avigail Eisenberg, professeur de science politique, Université de Victoria Lynda Erickson, professeur émérite de science politique, Université Simon Fraser Patrick Fafard, professeur agrégé, École supérieure d'affaires publiques et internationales, Université d'Ottawa Katherine Fierlbeck, professeur de science politique, Université Dalhousie Craig Forcese, professeur agrégé de droit, Université d'Ottawa Cristie Ford, professeur agrégé de droit, Université de la Colombie-Britannique Andrea Geiger, professeur agrégé d'histoire, Université Simon Fraser Elisabeth Gidengil, professeur de science politique, Université McGill, et ancien président, Association canadienne de science politique Pablo Gilabert, professeur agrégé de philosophie, Université Concordia Elizabeth Goodyear-Grant, professeur d'études politiques associés, Université Queen Joyce Green, professeur de science politique, Université de Regina Rodney Haddow, professeur agrégé de science politique, Université de Toronto Blayne Haggart, professeur adjoint de science politique, Université Brock Marc Hanvelt , professeur auxiliaire de recherche de science politique, Université Carleton Lois Harder, professeur de science politique, Université de l'Alberta Kathryn Harrison, professeur de sciences politiques, Université de la Colombie-Britannique Matthew Hayday, professeur agrégé d'histoire, Université de Guelph Andrew Heard, professeur agrégé de science politique, Université Simon Fraser Joseph Heath, professeur de philosophie et de l'École de politique publique et de gouvernance de l'Université de Toronto Matthew James, professeur agrégé de science politique, Université de Victoria Laura Janara, professeur agrégé de sciences politiques, Université de la Colombie-Britannique Nancy Janovicek , professeur agrégé d'histoire, Université de Calgary Leslie Jeffrey, professeur d'histoire et de politique, Université du Nouveau-Brunswick, Saint John Candace Johnson, professeur agrégé de sciences politiques, Université de Guelph Rebecca Johnson, professeur de droit, Université de Victoria Richard Johnston, Professeur de science politique, et ancien président, Association canadienne de science politique Luc Juillet, professeur agrégé, École supérieure d'affaires publiques et internationales, Université d'Ottawa Darlene Juschka, professeur agrégé de sciences des religions et des études des femmes, Université de Regina David Kahane, professeur de politique Science, Université de l'Alberta Willeen Keough, professeur agrégé d'histoire, Université Simon Fraser Loren King, professeur agrégé de science politique, Université Wilfrid Laurier Rebecca Kingston, professeur agrégé de science politique, Université de Toronto David Laycock, professeur de science politique, Simon Fraser Université Patrick Leblond, professeur agrégé, École supérieure d'affaires publiques et internationales, Université d'Ottawa Jean Leclair, professeur de droit, Université de Montréal Laurent Leduc, professeur émérite de science politique, Université de Toronto Theresa Lee, professeur agrégé de sciences politiques, Université de Guelph Rémi Léger, professeur adjoint de science politique, Université Simon Fraser Hester Lessard, professeur de droit, Université de Victoria Dominique Leydet, professeur de philosophie, Université du Québec à Montréal James Lightbody, professeur de science politique, Université de l'Alberta Mary Liston, professeur adjoint de droit, Université de la Colombie-Britannique Catherine Lu, professeur agrégé de sciences politiques, Université McGill Audrey Macklin, professeure et présidente en droit droits de l'homme, Faculté de droit, Université de Toronto Colin Macleod, professeur agrégé de philosophie et de droit, Université de Victoria Jocelyn Maclure, professeur de philosophie, Université Laval Patricia Marin, professeur agrégé de philosophie, Université de Waterloo John McGarry, professeur de sciences politiques, Université Queen Michael McGregor, professeur adjoint de politique et d'études internationales, Université Bishop Loralea Michaelis, professeur agrégé de Politique et Relations Internationales de l'Université Mount Allison Éric Montpetit, professeur de science politique, Université de Montréal Margaret Moore, professeur de sciences politiques, Université Queen Suzanne Morton, professeur d'histoire et d'études classiques de l'Université McGill Catherine Murray, professeur de communication, Simon Fraser Université Christian Nadeau, professeur agrégé de philosophie, Université de Montréal James Naylor, professeur agrégé d'histoire, Université de Brandon Jennifer Nedelsky, professeur de droit et de science politique, Université de Toronto Carmen J. Nielson, professeur agrégé d'histoire, Université Mount Royal Geneviève Nootens , professeur de sciences sociales, Université du Québec à Chicoutimi Nancy Olewiler, professeur de politique publique, Université Simon Fraser Brenda O'Neill, professeur agrégé de science politique, Université de Calgary Michael Orsini, professeur agrégé d'études politiques, Université d'Ottawa Martin Papillon , professeur agrégé d'études politiques, Université d'Ottawa Steve Patten, professeur agrégé de science politique, Université de l'Alberta Omid Payrow Shabani, professeur de philosophie, Université de Guelph Dennis Pilon, professeur agrégé de science politique, Université York Florence Piron, professeure de l'information et de la communication, Université Laval Pablo Policzer, professeur agrégé de science politique, Université de Calgary Philip Resnick, professeur émérite de science politique, Université de la Colombie-Britannique Kent Roach, professeur de droit, Université de Toronto Douglas A. Ross, professeur de science politique, Université Simon Fraser Jason Roy, professeur adjoint de science politique, Université Wilfrid Laurier Claudia Ruitenberg, professeur agrégé de sciences de l'éducation, Université de la Colombie-Britannique Peter Russell, professeur émérite de science politique, Université de Toronto, et président sortant de l'Association canadienne de science politique Paul Saurette, professeur agrégé d'études politiques, Université d'Ottawa Carol Schick, professeur agrégé de l'éducation, Université de Regina David Schneiderman, Professeur de droit, Université de Toronto Christa Scholtz, professeur agrégé de sciences politiques, Université McGill Richard Schultz, professeur de science politique , Université McGill Leslie Seidle, directeur de recherche, Institut de recherche en politiques publiques Ozlem Sensoy, professeur agrégé d'éducation, Université Simon Fraser grâce Skogstad, professeur de science politique, et ancien président, Association canadienne de science politique Harry Smalier, Professeur associé émérite, Faculté de l'éducation, Université York David E. Smith, Professeur invité, Département de politique et d'administration publique, Université Ryerson, et ancien président, Association canadienne de science politique Jennifer Smith, professeur émérite de science politique, Université Dalhousie Miriam Smith, professeur de droit et société, l'Université York, et ancien président, Association canadienne de science politique Patrick Smith, professeur de science politique, Université Simon Fraser Robert Sparling, professeur adjoint de science politique, Université de Montréal Mark Spooner, professeur agrégé, Faculté d'éducation, Université de Regina Maxime St-Hilaire, professeur adjoint de droit, Université de Sherbrooke Christine Straehle, professeur agrégé, École supérieure d'affaires publiques et internationales, Université d'Ottawa Veronica Strong-Boag, professeur émérite, Institut pour l'égalité, la course, la sexualité et des études sur la justice sociale / enseignement , Université de la Colombie-Britannique, et ancien président, Canadian Historical Association Lisa Taylor, professeur d'éducation de l'Université Bishop Melanee Thomas, professeur adjoint de science politique, Université de Calgary Reeta Tremblay, professeur de science politique, Université de Victoria, et ancien président, Association canadienne de science politique James Tully, professeur émérite de science politique, du droit, de la gouvernance autochtone et de philosophie, Université de Victoria Luc Turgeon, professeur adjoint de sciences politiques, Université d'Ottawa Patrick Turmel, professeur agrégé de philosophie, Université Laval Ian Urquhart, professeur agrégé de science politique, Université de l'Alberta Robert Vipond, professeur de science politique, Université de Toronto Jennifer Wallner, professeur adjoint de sciences politiques, Université d'Ottawa Jeremy Webber, doyen de droit de l'Université de Victoria Mark Warren, professeur de science politique, Université de Colombie-Britannique Lorraine E. Weinrib, professeur de droit, Université de Toronto Daniel Weinstock, professeur de droit, Université McGill Steven Weldon, professeur agrégé de science politique, Université Simon Fraser Graham White, professeur de science politique, Université de Toronto à Mississauga, et Ancien président, Association canadienne de science politique Lisa Young, professeur de sciences politiques, Université de Calgary Margot Young, professeur de droit, Université de la Colombie-Britannique Robert Young, professeur de sciences politiques, Université de Western Ontario, et ancien président, Association canadienne de science politique National Post http://fullcomment.nationalpost.com/2014/03/11/dont-undermine-elections-canada/

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